LIBERTÉ & INSOLENCES
LE JAPON A PARIS
Le salon du dessin érotique Salo accueille des artistes de tous âges, de toutes nationalités, de tous niveaux sociaux et de tous cursus comme aucun CV n’est requis lors des candidatures.
Ce salon expose des œuvres et non pas des galeries, ni des artistes en fonction de leurs parcours, qui suit le plus souvent leurs origines sociales et leur talent de communicant.
Laurent Quénéhen, commissaire de ce salon du dessin érotique, choisit les œuvres présentées.
L’érotisme se réinvente ainsi à Salo d’années en années.
Ce salon expose principalement des dessins, mais aussi quelques photographies, peintures, céramiques.
Cette année, les deux artistes japonaises Ayako David-Kawauchi et Hana Kanehisa y exposent.
De plus, Olga Caldas y présente sa série de photos Bath Ritual in Hakone réalisée au Japon en avril 2024.
ARTEGO MAGAZINE NEW - YORK CITY, USA - JUNE 2024
REVUE PERSONA
LA LIBRE BELGIQUE - ARTS LIBRES
Article du critique d’art ROGER-PIERRE TURINE, 29 novembre 2023
L'OEIL MAGAZINE
L'OEIL MAGAZINE - Spécial mois de la photo - nov 2023
Par Aude-Claire DE PARCEVAUX- rédactrice en cheffe
TK-21
L’exposition « Mémoires Vives » in TK21 , n• 147- novembre 2023
Rencontre avec les artistes jeudi 9 novembre de 19:30 à 21h30
Exposition jusqu’au 16 décembre à l’Immix galerie- Paris X
Par Martial Verdier TK-21 La Revue
LACRITIQUE.ORG
" Les différentes occurrences photographiques de l’identité humaine "
Par Christian GATTINONI, critique d'art, lacritique.org, nov. 2023.
L’IMMIX galerie qui veut défendre une photographie élargie présente jusqu’au 16 décembre : MEMOIRES VIVES avec les oeuvres de reprises plastiques d’archives de l’américaine Michelle Standbridge, et de Fabiola Ubani espagnole qui panache numérique et procédés alternatifs argentiques anciens avec les techniques de photogravure et de lithographie. Comme Juliette Almah elle explore des métaphores de l‘oubli et de la disparition. Le projet le plus convainquant est l‘installation d‘Olga Caldas et OKA, "Corps Mémoires" une suspension de grands formats qui dévoilent des témoignages retranscrits sur des corps dénudés, devenant comme des stèles vivantes. Des interviews vidéo complètent ces témoignages aussi sensibles qu’essentiels. L’invocation du nom de personnes assassinées en déportation, de confession juive majoritairement, n’oublie pas Tziganes, homosexuel(le)s, interné(s ou captives de guerre et résistant(e)s.
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GALERIES D'ART PARIS
BY-NIGHT PARIS
LE PARISIEN
LE JOURNAL DES ARTS
Olga Caldas et OKA - En galerie
Immix galerie – Paris-10e Jusqu’au 16 décembre 2023
PAR AUDE-CLAIRE DE PARCEVAUX · L'ŒIL
LE 25 OCTOBRE 2023
Utiliser la photo pour sauver de l’oubli nos souvenirs personnels, mais aussi notre histoire collective, voilà l’ambition des quatre artistes ici rassemblés, Olga Caldas et OKA, Mikelle Standbridge et Fabiola Ubani, à travers des propositions très différentes.
À noter parmi elles, l’émouvant travail d’Olga Caldas et OKA, qui ont écrit sur la peau des personnes photographiées, telles des stèles vivantes, le nom de déportés morts dans les camps nazis, donnant vie à leur mémoire.
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ONE ARTY MINUTE
REVUE TK-21
Dans son jardin, espace intime, atelier en plein air, Olga Caldas retrouve le plaisir de se fondre parmi la végétation gardée à l’état presque sauvage ainsi que celui de se souvenir de moments passés dans d’autres lieux où ressentir l’énergie des plantes.
Ce lieu, œuvre de la nature et de l’artiste constitue un espace de jeu pour ses créations artistiques.
« Entre passé et avenir, le jardin reste suspendu : ce présent doux et lent, presque éternel, ce temps autre. » [1]
Les photographies d’Olga Caldas racontent le passage des saisons, le renouveau, l’attente vers la contemplation de nouvelles floraisons.
La mise en scène est la première étape de son travail photographique. Au fil des transformations du jardin, des objets, un lit en fer forgé et des végétaux deviennent les éléments d’un décor. L’artiste dialogue avec les plantes, dont elle prend soin et qu’elle laisse se développer librement.
Ces espèces à la fois cultivées et sauvages enveloppent le corps d’Olga Caldas dans sa série de photographies intitulée L’éphémère.
LIRE LA SUITE (rubrique Cerveau)